Pour s’alimenter, les hommes ont recherché très tôt des ustensiles commodes pour contenir les aliments, soit en portions individuelles, soit en quantités plus importantes ; dans ce dernier cas, chaque convive puise sa nourriture, présentée dans un vaste contenant, à l’aide d’outils spécifiques (cuillers, puis fourchettes, louches, etc.).

Tous ces objets nécessaires aux repas ont évolué au fil des siècles et, comme tous les ustensiles de la vie quotidienne, ont suivi les modes et furent tributaires des ressources locales. Initialement pour la plupart confectionnés en bois, ils ont été fabriqués en métal dès que la métallurgie atteignit l’âge technologique adéquat, tandis que d’autres, essentiellement les récipients, étaient réalisés en poterie.

Au fil des siècles, avec les découvertes de nouvelles matières et les progrès technologiques, d’autres catégories de matériaux ont été employés : faïence, grès, porcelaine, verre, puis, de nos jours, des matières synthétiques (mélamine, plastique, papier cellulosé, etc.), obtenues par la chimie (surtout la pétrochimie).

On distingue deux catégories :

les ustensiles individuels

• assiettes plates,

• assiettes creuses,

• bols,

• couverts (couteaux, fourchettes, cuillères).

les ustensiles collectifs :

• plats,

• soupières,

• salières et poivrières.

Matières :

• écuelles de bois,

• assiettes et plats en poterie (terre glaise, grès),

• puis faïence,

• porcelaine,

• étain,

• de nos jours : carton, plastique, mélamine.